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mercoledì 26 marzo 2014

Francia. Parigi. Musée Guimet. Portrait du roi Jayavarman VII



Un altro dei molto suggestivi incontri al Guimet. Un re meditante.


Cette tête, bien que dépourvue d’insignes de royauté et de toute parure, est celle d’un souverain : Jayavarman VII (r.1181-1218 ?). Le roi est représenté à l’âge mûr, le visage quelque peu empâté, et méditant en toute humilité les yeux baissés. Ses lèvres affichent le célèbre « sourire d’Angkor ». Cette sculpture appartient au style du Bayon (fin XIIe-début XIIIe siècle), pour lequel les sculpteurs abandonnent le canon idéal de jeunesse et de beauté, quelque peu impersonnel, des époques antérieures. Ils adoptent alors un style plus naturaliste, terrestre et humain, au modelé sensible, s’inspirant parfois de la physionomie du roi ou de ses contemporains. Ces oeuvres font montre d’une grande expressivité, bien que toute de retenue, traduisant par la dévotion et la sérénité de l’âme, la grandeur royale.
Plusieurs statues identifiées comme des portraits sont connues, le souverain y apparaît à des âges différents, assis, rendant hommage au Buddha.
Le règne de Jayavarman VII fait suite à une période de troubles s’achevant en 1177 par la prise d’Angkor par les Chams. Durant cette renaissance khmère, et probablement en raison de la perte de confiance dans la protection du shivaïsme, Jayavarman VII adopte le bouddhisme mahâyâna comme religion d’Etat. Ce changement implique de nouvelles recherches iconographiques et esthétiques, et trouve son expression majeure dans des programmes architecturaux démesurés. L’art devient ainsi le vecteur d’un bouddhisme proprement cambodgien dans lequel le roi incarne la plus exemplaire dévotion. De courte durée, cette période brillante trouve son terme dans la résurgence du shivaïsme dès le milieu du XIIIe siècle.

Commento dal sito del Guimet

Francia Parigi. Musée Guimet. Vietnam. Bodhisattva Avalokitésvara




Un altro incontro al Guimet. Accanto a lui (lei?) bell'insetto liscio ed elegante, un po' disedegnoso, quell'altro (altra) che vedete sotto, più simile a una corrusca nube dorata.

Da Insecula

Date : entre le XVIIème et le XVIIIème siècle
Matériaux : Bois laqué, Dorures

Le bodhisattva Avalokitésvara (seigneur qui observe depuis le haut) chinois Guanyin, (prononcé Kan'non en japonais) compte parmi les plus populaires parmi les bouddhistes du Grand Véhicule (mahayana). Ce bodhisattva protéiforme et syncrétique, peut représenter tous les autres bodhisattvas. Féminin en Chine et au Japon, il incarne la compassion ultime. Le Dalaï Lama est considéré comme sa réincarnation. Personnifiant la charité et la compassion, c'est le seigneur qui regarde vers le bas.

Il porte l'image du bouddha Amitabha dans sa coiffure. Dans l'iconographie lamaïste, il est représenté avec deux bras et une tête, avec quatre bras et une tête, avec huit bras et onze têtes ou avec mille bras et onze têtes. Ses attributs les plus fréquents sont la fleur de lotus (Avalokitesvara est parfois nommé Padmapani "le porteur du padma (lotus)"), un rosaire, un vase à eau, un manuscrit. Protecteur du Tibet, le roi Songtsen Gompo puis les Dalaï Lamas sont considérés comme ses émanations dans le monde. Le mantra d'Avalokiteshvara est : Om Mani Padme Hum.

Le terme sanskrit bodhisattva signifie être (sattva) d'éveil (bodhi). Il appartient au vocabulaire religieux du bouddhisme et désigne des personnes qui, ayant acquis l'état de bouddha, refusent le nirvâna par compassion pour se réincarner et venir en aide aux autres. Les très nombreux bodhisattvas (Avalokiteśvara, Mañjuśrī, Maitreya, Lokeśvara, Samantabhadra ...) sont essentiellement honorés dans le bouddhisme mahâyâna et le vajrayâna. Dans le bouddhisme theravâda, le terme de bodhisattva désigne des aspirants à l'éveil qui, par volonté pure et la pratique des vertus dites pāramita, ne cherchent pas à atteindre leur seul salut et devenir arahant, mais obtenir la connaissance complète de la Vérité afin d'enseigner aux autres disciples et devenir ainsi un bouddha parfait. Contrairement au bodhisattva présenté dans le mahâyâna qui choisit ses incarnations, le bodhisattva theravâda rejoindra le nirvâna après la mort.


domenica 23 marzo 2014

Francia. Parigi. Musée Guimet. Vietnam









Avidamente navigando tra asiatici flutti e sorrisi di Budda molto greci, uno perfino coronato d'alloro e altri con ricci in ranghi serrati fatti con tasca da pasticcere identici a quelli dell'artista autistico della Biennale.

Alla faccia degli isolamenti, i simboli dovunque penetrano e forse attenuano la nostra disperante stupidità.

In questa stanza mi sentivo di circondata di angeli, di torri, di stupa, della luce del bronzo. 

L'artista della Biennale è Shinichi Sawada

giovedì 20 marzo 2014

Francia. Parigi. Musée Guimet. Il terzo occhio di Shiva.


Masque de Bhairava

Népal, vallée de Katmandou Fin XVIe, début XVIIe siècle
Cuivre doré et incrusté

Dal sito del Guimet altre informazioni

Francia. Parigi. Musée Guimet. Buddha Uttar Pradesh. Mathura. Gupta



Buddha. Uttar Pradesh. Mathura. Gupta. 

Prima metà del V secolo.

Colpita da questa figura fluida e bella. Così dice tra l'altro di lei il sito del Guimet.

La pureté des formes, l’harmonie des proportions, la qualité d’exécution de ce buste et la virtuosité du traitement de la robe et du nimbe, font de cette pièce l’archétype même de la sculpture bouddhique, qui traversera les siècles, de l’Asie du Sud-Est, en passant par le Tibet, jusqu’en Chine et au Japon.

mercoledì 19 marzo 2014

Francia. Parigi. Musée Guimet. Ekamukhalinga. Linga con volto divino.



Bihar, fine del VII - inizio del VIII

Dal sito del Guimet, foto dell'intera scultura e altre notizie.

Un articolo su questa eccezionale scultura qui.

Francia. Parigi. Musée Guimet. Yogini



Tamil Nadu, Chola, Yogini, from Kancipuram, 890-1000 ca

Un impressionante, soggiogante incontro al Guimet. 

Una definizione un po' troppo oscura delle yogini (oscurità e luminosità in queste religioni sono più conviventi di così, da quel che ho capito); tuttavia, eccola:

Le Yogini sono tremende espressioni del divino al femminile di cui si trova testimonianza nelle tradizioni hindù e buddista vajrayana di ambiente tantrico. Dotate di molteplici aspetti e funzioni possono assumere forma di donne e streghe dedite a rituali oscuri, di forze primordiali collegate a malattie, avvelenamenti e possessioni, di presenze sottili nei supporti meditativi quali yantra e mantra oppure di vere e proprie divinità che atterriscono e ammaliano. Riunite in cerchi nel profondo della foresta o nei campi di cremazione, le Yogini suscitano poteri e conoscenze segrete dispensandoli a coloro che le evocano attraverso pratiche anche estreme. La loro cifra appare però giocarsi in una inclinazione misterica, notturna, in quella penombra ove chi non sa vedere prende la corda per serpente. In definitiva le yogini frequentano la morte offrendo agli iniziati che si consegnano al loro abbraccio prospettive di liberazione al di là del baluginante mondo delle illusioni. Il libro rappresenta così un viaggio alla ricerca di queste figure misteriose annidate all'ombra della Dea, nell'angolo meno appariscente, quello che sfugge agli sguardi superficiali. Un viaggio che si snoda in una zona di frontiera della tradizione indiana, costantemente in bilico tra rituali tantrici, sacrifici e conoscenze sottili. Quel viaggio periglioso che è patrimonio di tutte le "cerche" tradizionali.

Da qui Yogini.Il lato in ombra della Dea.

venerdì 7 marzo 2014

Francia. Parigi. Musée Guimet. Ananda, discepolo di budda.




Marmo con tracce policrome.

Fine VI - VII secolo. Cina settentrionale.


Francia. Parigi. Musée Guimet. dalle parti di un Afganistan ellenizzato

Afganistan vallée du Guorband, monastere de Fondukistan

VII secolo

Ma che spaesamento; il baffuto Afganistan quando era felicemente confuso tra ellenismo e oriente. Questo Budda regalmente rilassato è un vero greco (quasi), quel Bodisattva un vero Bacco (quasi); guardate anche quest'altro

Buddah assis en delassement royal

 
Bodhisattva

mercoledì 5 marzo 2014

Francia. Parigi. Musée Guimet. Giocatrici di polo e danzatrici Tang





Riflettete: le danzatrici non stupiscono, ma che ne dite delle giocatrici di polo? Questo ci dice chi fossero i Tang.

In  washington.edu, Musée Guimet:: China: From the Sui through the Song Dynasties, trovate foto ben fatte delle giocatrici di polo, delle danzatrici e di altre statuette che vi sto mostrando, con puntuali indicazioni di provenienza e epoca.

martedì 4 marzo 2014

Francia: Parigi. Musée Guimet. Cina. Lo zebu.



Stanze cinesi del Guimet. Sono tra i Tang, la Cina nella cui capitale confluiva il mondo, una Cina metropolitana, internazionale, avanzata, colta. Te lo trovi davanti, questo qui, lucente e possente; la mente - una parte remota, che va da sè - mormora qualcosa come: capolavoro. Magnifica idea quelle patacche vividamente colanti, sempre, su tutte queste ceramiche; splendida qui. Geniale rottura dell'apparente realismo.

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Zebu

Terre cuite et glaçures Epoque Tang, début du VIIIe siècle H. 26cm ; L. max. 32 cm ;

L’animal d’un réalisme saisissant est fermement campé sur une terrasse rectangulaire. Le corps tout entier est fait d’une terre dense à glaçure ivoire sur laquelle se détachent les taches brun vert du pelage obtenues à l’oxyde de cuivre. Les coulures qui en ont résulté, laissées s’écouler sans contrainte, paradoxalement en augmentent encore le naturel. Saisi dans toute sa puissance, le zébu est une œuvre rare tant par la qualité de sa facture que par le peu d’exemples connus que l’on puisse lui comparer et le fait qu’il ne soit pas attelé à un char, ainsi qu’on a coutume de le trouver. Mais dans ces conditions, l’absence de contexte archéologique rend incertaine la détermination précise de sa fonction dans la tombe. Sans doute convient-il de voir dans ce chef-d’œuvre tout aussi bien l’image de la bête de labour et du géniteur d’un bétail indispensable au paysan que celle, peut-être, du « pacificateur des eaux », qui fut son rôle sous le règne antique de Yu le Grand qui l’employa dans cette tâche afin qu’il contribue au rétablissement de l’harmonie du monde troublée par le débordement de flots en fureur dont il était chargé.


Dal sito del Guimet.

lunedì 3 marzo 2014

Francia. Parigi. Musée Guimet.Testa di Bodhisattva con corona di alloro. VI secolo. Kucha, Duldur - aqur



Siamo nelle stanze cinesi; mi ritovo faccia a faccia con questo qui. Non è l'unico con quest'aria che mi scombussola, tra vicino mondo antico - quella corona d'alloro - e lontano oriente - quegli occhi allungati, quelle sopracciglia a foglia di salice, quel sorriso. Delizie delle vie della seta. Siamo in Asia Centrale, alla periferia di India, Persia e Cina, a Kucha, un antico regno buddista, una delle oasi più popolose del bacino del Tarim.


L'Enciclopedia Treccani dice:

Lo stile kuceano e la via settentrionale. - Conosciamo solo attraverso rari documenti l'arte classicheggiante dei primi secoli della nostra era nel tracciato meridionale delle «Vie della Seta». Il caso è del tutto diverso per quell'arte che sarebbe fiorita nel corso dei secoli successivi nei siti buddhistici del tracciato settentrionale. Essi corrispondono alle grandi tappe delle vie carovaniere il cui apogeo si situa verosimilmente fra il IV e l'VIII sec. d.C. L'arte che vi si sviluppa e che si qualifica generalmente come «indo-iranica» ci è nota per le numerose pitture murali e le sculture policrome in argilla rinvenute nei santuarî buddhistici costruiti o scavati nella roccia. In particolare il regno di Kučā, fin dal V sec. d.C., è teatro d'una intensa attività artistica. In questo periodo furono costruiti numerosi edifici religiosi, frutto del mecenatismo dell'aristocrazia locale la cui ricchezza dipendeva dal commercio carovaniero. Questo permise lo sviluppo d'una scuola di pittura originale la cui influenza si farà sentire in tutta la regione, da Khotan a Turfan. Il suo carattere specifico è ben rappresentato dal «primo stile» di Kučā quale appare nelle pitture più antiche del complesso monastico di Qïzïl o del tempio di Duldur Aqur. Queste pitture, eseguite presumibilmente fra il V e il VI sec., sono fortemente segnate dai modelli dell'arte gupta dell'India nel modo di contornare le figure, nella composizione dei soggetti, nell'espressione e nell'atteggiamento dei personaggi e nella scelta dei tempi e dei colori. Sebbene preponderante, l'estetica gupta si sovrappone - senza alterarne il valore - alle antiche tradizioni artistiche ereditate dal Gandhāra. Il permanere di queste ultime attenua la sensualità e l'elegante flessuosità dei modelli indiani per dare maggiore spazio alla ricercatezza un po' stereotipata dell'arte centroasiatica. A differenza degli artisti dello stile classicheggiante che attingevano la loro ispirazione direttamente dall'arte del Gandhāra e dell'Iran ellenizzato, i pittori di Kučā subiscono l'influenza di questi antichi modelli solo dopo che essi vennero trasformati nel lungo cammino attraverso la Battriana e la Transoxiana.

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Lavorò in quella zona l'archologo Paul Pelliot, che trovò anche questa testa.

Francia, Parigi. Musée Guimet. Dame au chignon mingqi (substitut funéraire)



Cette dame de cour appartient à une phase stylistique caractéristique de l’apogée de la dynastie des Tang (618-907) et possède une polychromie dans un état de conservation exceptionnel. Son ample silhouette est enveloppée par une longue jupe imprimée de motifs floraux sur un fond bleu sombre, attachée très haut sous la poitrine, et un gilet à col en V à larges manches flottantes. Les pommettes éclatantes tempérées par les jolis sourcils arqués en feuille de laurier font équilibre à la coiffure volumineuse. Ce groupe stylistique de mingqi arbore toute une série d’expressions familières traduites par l’inclinaison de la tête et la position des bras qui confèrent à ces imposantes figures une frappante vitalité. Légèrement déhanchées, elles présentent un visage joufflu et très maquillé aux traits fins, et surmonté d’une coiffure extravagante qui amplifie dans la démesure les styles des périodes précédentes.
Exécutés dans un moule bivalve, cuits à basse température et peints, ces mingqiou substituts funéraires sont alignés dans des niches creusées dans les murs du corridor d’accès des tombes tang. Elles participent au raffinement de l’environnement, et durant cette période, gagnent en réalisme et en expressivité ce qu’elles perdent en vertus magiques qui étaient les leurs depuis l’époque des Royaumes combattants (475-221 avant notre ère).
L’origine de la mode des femmes enveloppées a été traditionnellement attribuée au goût de l’empereur tang Xuanzong ( 712-756) pour les femmes enveloppées telles que Yang Guifei. L’archéologie a infirmé cette légende, néanmoins c’est à partir des années 740 que se multiplient ce type d’images. Des similitudes entre les motifs peints de la robe de cette pièce et ceux figurant sur la robe d’une donatrice représentée à Dunhuang entre 848 et 907, suggèrent que cette statuette funéraire est l’une des dernières exécutées après la disparition du dernier des grands empereurs tang.

Mingqi

Substitut funéraire pouvant prendre la forme d'un personnage, d'une architecture miniature ou de toutes sortes d'objets de la vie quotidienne. Produits en bois puis en terre cuite, ils devinrent courants en Chine à partir de l'époque des "Royaumes combattants" (480-222 avant notre ère) et remplacèrent la coutume inhumaine qui consistait, lorsqu'un haut dignitaire mourrait, à enterrer ses serviteurs avec lui.

Tang

Dynastie qui régna sur la Chine de 618 à 907. C'est la période d'expansion la plus importante de la Chine ancienne, qui occasionna une ouverture sur les pays d'Asie centrale, Iran et Inde. Les échanges importants permis par la Route de la Soie transforme la capitale Chang'an en un centre cosmopolite, c'est à cette époque de contacts que le bouddhisme connaît son essor le plus remarquable en Chine.

Dal sito del Guimet

PS:  amo i Tang, e appena ho visto la dama sono caduta in deliquio (e già ero su su giri per il Guimet tutto).

In Artè gioca, alcuni post sui Tang

venerdì 28 febbraio 2014

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